Simon Vik Wing 2025Simon Vik Wing 2025
©Simon Vik Wing 2025
Simonjeune wingfoiler

Simon Aubry

À la rencontre de Simon, jeune sportif prometteur

Glisser, voler, rider

Le quotidien de Simon

Simon

le wingfoiler

Du haut de ses 13 ans, Simon a déjà la glisse dans le sang. Après avoir fait ses armes en optimist, il découvre le wingfoil en 2024 grâce à Gaël, moniteur de 8 Milles Nautic, qui lui propose de rejoindre la section wing dès la rentrée de septembre. Depuis, il ne lâche plus sa planche et son foil.

Simon est un passionné de sensations, et il a rapidement progressé : deux mois pour tirer ses premiers bords, et le jibe est arrivé juste après. Il s’entraîne deux fois par semaine, voire trois quand une compétition se profile. Il partage cette passion en famille, avec son père et son frère Martin, tous deux eux aussi contaminés par le virus du wing. La wing en compétition, ce n’est pas que de la glisse, c’est aussi du physique. Clarisse, la coach de 8 Milles Nautic, lui a concocté un programme aux petits oignons : course à pied, squats, pompes… De quoi tenir sur l’eau, même quand cela brasse.

“J’aime la vitesse et la sensation de glisse sur l’eau, que l’on retrouve moins en optimist.”

Ses spots

de wing

Simon a déjà wingué un peu partout :

> En Normandie (Saint-Martin de Bréhal, Chausey , St Pair, Cherbourg, Breville, Ouistreham, Langrune)

> En Bretagne (Brest)

> Et même à l’étranger, avec un gros coup de cœur pour Naxos, en Grèce, où il a navigué dans une eau turquoise de rêve, sa plus belle session à ce jour.

Son prochain

Défi sportif

Les compétitions vont s’enchaîner pour Simon avec :

  • Langrune, le 12 octobre
  • Les Championnats de France du 18 au 24 octobre
  • La WAF, qu’il attend avec impatience. Pour cette dernière, il a choisi le grand parcours et vise le top 10.
Ses conditions préférées ?

Quand il y a de la vague.

Il adore surfer sans utiliser l’aile, en se laissant porter uniquement par le foil. Du pur freefly. Le freefly consiste à surfer le clapot ou la houle, en utilisant le moins possible la propulsion de l’aile de wing au profit de la pente de la mer.

Côté matos, il est équipé en DUOTONE, avec une planche de 70 litres et un foil de 700.

Quand il n'est pas sur la planche

Simon est tout sauf inactif : il fait du surf, du skate, du badminton, de l’escalade… Un vrai touche-à-tout du sport !

Le truc qu’il fait le plus souvent dans une journée

Checker Windguru pour voir s’il y a du vent pour aller rider, évidemment.

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